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26 juin 2016 – Paris 12e (75012)

 

Salle de la Nation, Hôpital Rothschild, 5 rue Santerre, 75012 Paris à 15h

entre gratuite avec libre participation

 

 

Quand les douces voix s’éteignent...

 

Un programme tripartite, varié et plutôt léger, qui présente trois langues, trois périodes, et trois styles de musique différents.

Nous commençons en France, au début du XVIe siècle, avec une série de « chansons » qui parlent de l’amour (Costeley Mignonne, allons voir ; de Sermisy Tant que vivrai) et du mariage (Passereau Il est bel et bon), puis de la perte de l’âme aimée (Josquin Mille regretz ; Sandrin Doulce mémoire, sur un texte de François Ier).

La deuxième partie du concert est axée sur la musique allemande avec un aspect spirituel, même s’il ne s’agit pas de musique religieuse, à proprement parler : Mendelssohn Verleih uns Frieden (Donne-nous la paix), Brahms Geistliches Lied (Chant spirituel), Wolf Letzte Bitte (Dernière demande) et Schubert An die Musik (À la musique).

La « partsong » anglaise est une forme musicale de la fin du XIXe siècle, qui fait référence aux madrigaux de la Renaissance. Nous présentons quelques pièces magnifiques qui traitent de la musique (Parry Music, when soft voices die, sur un texte du poète Shelley d’où vient le titre du concert) et de la nature (Elgar As torrents in summer ; Sullivan The long day closes). Après une pièce sur un texte de Shakespeare tiré du « Tempest » (Wood Full fathom five), nous finissons avec un morceau de Ward Swingle, fondateur des Swingle Singers et récemment disparu : Give us this day, qui nous rappelle la nécessité de prendre soin de notre Terre.

 

​Chansons françaises

Costeley Mignonne, allons voir

de Sermisy Tant que vivrai

Josquin Desprez Mille regretz

Passereau Il est bel et bon

Sandrin Doulce mémoire

 

Motets allemands

Mendelssohn Verleih uns Frieden

Brahms Geistliches Lied

Wolf Letzte Bitte

Schubert An die Musik

 

Partsongs anglaises

Elgar As torrents in summer

Wood Full fathom five

Parry Music, when soft voices die

Sullivan The long day closes

Swingle Give us this day

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